Comme aurait pu dire Audiard : tous les peigne-culs ont la raie au milieu, c'est même à ça qu'on les reconnaît.
Une personne qui prend son temps à peigner avec amour les poils de son séant est une personne peu raffinée et surtout triviale donc un grossier personnage, méprisable, voire peu sociable On pourrait même l'associer à un individu ennuyeux voire lourd.
D'autres expressions associées en découlent qu'elles soient argotiques ou non : peigne-derche, peigne-zizi (San Antonio), fesse-mathieu, pisse-vinaigre, chichard, pleure-misère, etc.
Je ne sais pas si un peigne-cul peigne la girafe, mais mieux vaut qu'il ne soit pas presbyte, qu'il soit coiffeur pour dames à la campagne (peigne-cul-terreux) ou pas...